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                                                                                                                                        Il y a une vraie tradition, vous savez, des écrivains consommateurs de substances. Artaud et le peyotl, Henri Michaux, Baudelaire et Théophile Gautier. À quoi sert un corps, pour un écrivain, sinon à produire le maximum de texte possible ? Et de la meilleure qualité ? Les amphétamines, parfois, m’y ont aidé.
