Comte de Bouderbala

Le rire, ça dépasse les frontières sociale, éthnique, culturelle et puis, ça aide à se rassembler.

Comte de Bouderbala

Moi, j'ai toujours aimé le cerveau derrière l'artiste.

Comte de Bouderbala

Je dis aux gens de venir voir les humoristes sur scène parce que c'est le dernier vrai endroit de liberté absolu.

Comte de Bouderbala

J'ai commencé à jouer au basket à l'âge de 11 ans et mon rêve, c'était de devenir basketteur professionnel.

Comte de Bouderbala

Être humoriste, c'est un métier de charbonneur.

Comte de Bouderbala

La vie, c'est comme un match de basket, je te jure c'est vrai. Tant qu'il y a du temps, tu peux revenir au score et gagner ce putain de match. Donc, si il te reste des secondes, des minutes, mais ne lâche pas l'affaire mon pote, vas y.

Comte de Bouderbala

En arabe, "Bouderbala" c'est les haillons, les guenilles et le "comte" parce que venant de la ville de Saint Denis, la cité des roi avec la basilique... c'est une espèce de faux noble, un aristocrate crasseux.

Comte de Bouderbala

J'ai commencé par le slam, j'écrivais des textes et je me suis rendu compte que mon écriture était très dépressive, lugubre, un peu mortuaire. Je me suis dit : ça ne me ressemble pas du tout. J'aime bien déconner, faire rire les gens. Donc, j'ai changé mon fusil d'épaule.

Comte de Bouderbala

A la base, je n'étais pas du tout parti pour être humoriste, moi je voulais faire du basket.

Comte de Bouderbala

A l'époque, je passais 3 mois en France, puis 6 mois aux États-Unis.