Mon livre veut être, en quelque sorte, un instrument qui marque la mesure et rythme le temps.
Les querelles, elles sont nécessaires, elles font avancer le débat. L'histoire, c'est pas autre chose qu'un débat en permanence. On avance sur des idées, des hypothèses et ça nourrit, ça s'aditionne, donc tant mieux... c'est vivant et dynamique.
Je n'ai qu'un seul défi, qu'un seul combat, c'est de dire du bien de mon pays, de donner envie aux gens de s'intéresser à leur pays par la géographie.
Je suis comme un wikipédia sur pattes : j'aspire comme une éponge des informations pour les partager avec le plus grand nombre.
Moi, ce qui m'importe plus que le fond, c'est la forme. Moi, j'ai envie de reconnecter les gens avec leur histoire.
Est-ce qu'on a le droit d'avoir envie de transmettre et de raconter cette histoire de France sans être taxer de réact ou de facho ?
L’Éducation nationale n'assume plus le terme France
Notre géographie, elle est l'enfant de l'histoire.
Par la grâce de cette station désaffectée, les sans-abris se placent ainsi sous la garde de Saint Martin, l'apôtre des Gaules, l'homme généreux qui se consacra aux pauvres sa vie durant...”